Il y a deux années de cela, Paupière avait publié leur album intitulé À jamais privé de réponses (chroniqué ici). Le trio canadien détonnait pour leur mélange entre électro-pop et french-pop digne des années 1980 parfois kitsch parfois attachant. Et ils n’ont pas fini de nous impressionner avec leur nouvel EP nommé Jettatura.
Paupière reprend donc là où ils se sont arrêtés deux années plus tôt. Et c’est dire qu’ils démarrent plutôt en fanfare avec l’introduction nommée « Twisted Mind » plutôt surprenante et énergique avant d’enchaîner avec les pépites glamour comme « Coquille de noix » et « Howard Carter ». Leur synthpop des années 1980 prend des dimensions dantesques à l’écoute de « Splash Zone » ou de la conclusion épileptique nommée « Humble Entente » qui font la richesse de l’univers de Paupière.
Note: 7/10