Voici venir une nouvelle découverte made in Île-de-France du nom de Côme Ranjard. Il s’agit d’un jeune artiste qui mêle influences à mi-chemin entre Philippe Katerine, Caetano Veloso et Bertrand Belin mais c’est une tempête d’humour et d’amour qui se prépare à l’arrivée de son premier EP du nom de L’Enfant Casanier.
En six titres, Côme Ranjard se présente à nous comme un dandy des temps modernes. Il n’y a qu’à juger les titres entraînants et élégants à l’image de l’introduction nommée « Ça m’a coûté » où l’on arrive à s’identifier facilement avec ses textes si pertinents mais également de « Hippocampe » et autres « Anémone » qui vaut son pesant d’or pour son lot d’émotions. Le musicien francilien qui est bien entouré (on remarque la présence de Gaëtan Nonchalant qui officie à la basse sur le dernier titre qu’est « Kokorawa ») nous enivre en chantant pour les gens timides et rêvant de briller avec le morceau-titre aérien et somptueux. Une preuve que de beaux jours sont devant lui à l’avenir.
Note: 7.5/10
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