La musique néo-classique est devenue monnaie courante ces derniers temps et Maxime Baudin l’a bien compris. A l’instar de Nils Frahm, Chilly Gonzales ou encore Mekanik Kantatik, le pianiste sait s’aventurer vers d’autres genres musicaux comme le prouve son nouvel EP nommé Rose Planète.
Composé de sept titres, Maxime Baudin fait parler son instrument de prédilection en nous envoyant dans l’au-delà. Rose Planète nous embarque avec un « Spaceship » en guise d’ouverture stellaire avant que les odyssées pour les moins jazzy telles que « Je suis de trop » et « Dune » ne viennent prendre le relais. Les envolées spatiales que nous envoient le musicien et cinéaste parisien font effet avec des titres venus d’ailleurs à l’image de « Brillance », « La Maison de Franz » ou bien même de « L’Aérodynamisme » donnant envie à l’auditoire de se déconnecter pour rejoindre cette rose planète dont nous parle notre hôte.
Note: 7/10