Souvenez-vous lorsque Wild Rivers nous avait incroyablement envoûté avec leur prédécesseur nommé Sidelines (chroniqué ici). Le trio de pop alternatif a réussi à transporter son auditoire avec des compositions attachantes qui leur ont valu une renommée à part entière. Et c’est en ce sens qu’ils enfonceront le clou avec leur successeur qui s’intitule Never Better.
Il suffit de fermer les yeux et de se laisser guider par la mélodie voyageuse du morceau-titre introductif. Khalid Yassein (guitare, chant, clavier), Devan Glover (chant) et Andrew Oliver (guitare solo, synthétiseurs) retroussent leurs manches pour raconter une histoire absolument émouvante à travers ce Never Better qui s’annonce si passionnant avec « Cave » et « Everywhere I Go » qui suivent avec cette atmosphère si plaisante réussissant à nous transporter au lointain.
Une fois de plus, on appréciera la synergie des trois musiciens qui brille notamment lors des écoutes de « Backfire » ou de « Anyways, I Love You » résolument enivrants. Wild Rivers est à un autre niveau de créativité au programme de ce Never Better qui se clôture avec l’étincelante interlude nommée « Morongo Valley » et qui permet au trio canadien de se renouveler et de briller de mille feux une fois de plus.
Note: 7.5/10