Art d’Ecco – In Standard Definition

En 2016, Art d’Ecco avait débarqué sur la scène avec un premier disque du nom de Day Fevers. Suite à cela, le musicien originaire de Victoria a convoqué l’âge d’or du glam et a confirmé avec son successeur nommé Trespasser deux ans plus tard qui a vu sa réputation monter d’un cran. Cette année, il passe la troisième avec In Standard Definition.

Ce qui paraît évident, c’est qu’Art d’Ecco a plongé dans les disques du regretté Bowie de l’époque Ziggy Stardust mais également T-Rex et Sparks. Cela s’entend parfaitement sur des morceaux glam volontairement excentriques tels que le synthétique et saturé « Desires » en guise d’introduction ainsi que « TV God », « Bird of Prey » et « Nothing Ever Changes » des plus tubesques.

Alternant ambiances d’épouvante sur « Channel 7 (Pilot Season) » et sur « Channel 12 (Reruns) » et tubes dignes des année 1970-1980 avec entre autres « Head Rush », « I Am The Dancefloor » ou bien également « Good Looks », Art d’Ecco est bien parti pour nous surprendre. In Standard Definition est à l’image de son auteur: divertissant, excentrique et glam à souhait et c’est ce qui fera sa force avant tout.

Note: 7.5/10