Brookln Dekker fut révélé au public avec un premier album nommé Slow Reveal: Chapter One. Suite à cela, le musicien indie folk a pu connaître une ascension monstre en comptabilisant plus de 15 millions de streams afin d’avoir une popularité monstre. Cette année, il récidive avec son successeur qui s’intitule I Won’t Be Your Foe.
Il suffira de douze titres pour Dekker puisse nous enivrer comme bon lui semble avec sa folk épurée et poétique. Entouré de son acolyte Stefan Wittich à la profuction et de Zach Hanson au mastering, le musicien s’ouvre à nous en ouvrant les perspectives sur sa vie avec ses compositions épurées et introspectives telles que « Small Wins » en guise d’ouverture mais également les somptueux et réconfortants « Let’s Pretend » ou encore « Gem Of The World » et « Maybe October ».
I Won’t Be Your Foe sent la rédemption à plein nez et ce ne sont pas des ballades enivrantes telles que « I Only Hope To Feel Love » ou bien encore « Supposed To Be A Friend » qui nous feront dire le contraire. Dekker fascine en chantant l’amour le plus pur et le plus véritable sous un panel d’émotions comme le groove angulaire de « Are We Left To Help Ourselves » ou des plus lancinants « A Sparrow Perched Beside A Drain » et « Do It All Again ». Une fois n’est pas coutume, le second disque qui se clôture avec un « Would You Mind Sharing Your Light » réussit à nous procurer d’innombrables frissons avec son sens de la mélodie où l’on ressent chaque émotion à chaque note. Telle est la magie de Dekker.
Note: 7.5/10