Inutile de rappeler les principaux faits d’arme de Ziggy Alberts. L’auteur-compositeur-interprète australien est un nom bien installé sur la scène locale avec une réputation solide, celle de mettre du baume au cœur en musique. C’est notamment le cas lors de son tout nouvel album intitulé Dancing In The Dark.
Avec ces dix nouvelles ballades, Ziggy Alberts nous réconforte dans son habitat naturel. Toujours aussi introspectif et porteur d’espoir sur des titres somptueux tels que l’entrée en matière nommée « Campfire » mené au banjo ou bien également « I Believe » et « The Great Divide », l’auditoire boit religieusement les paroles du musicien australien qui se confie à nous sans pudeur. Et la magie opère une sixième fois.
On n’est pas au bout de nos surprises avec d’autres splendides trouvailles à l’image de « Tattoos » sans oublier « Cinnamon Daze » et « Broad Daylight ». Ziggy Alberts solidifie un peu plus son personnage attachant avec cette insouciance dans sa musique qu’il maîtrise de bout en bout avec « I’m Sorry » et « Rewind ». Avec Dancing In The Dark, l’obscurité part pour faire place à la lumière qui revient au galop.
Note: 7/10